Avant que l’instance faîtière n’envoie de correspondance à de tierces personnes, et dans le cas actuel, à des membres démissionnaires d’une association nationale, c’est que quelqu’un lui a écrit d’abord. Et au lendemain de la crise, c’est le président Moucharafou Anjorin qui s’est prêté à ce jeu. Il continue d’ailleurs de faire de faux rapports à la Fifa qui finira un jour par découvrir la fourberie. Lire l'article